Tous malades ! de Neil Gaiman, Stephen Jones

Présentation de l'éditeur : Neil Gaiman et Stephen Jones ont réuni dans cet ouvrage exceptionnel une trentaine de poèmes humoristiques et effrayants par les plus grands maîtres de l'horreur, de la fantasy et de la SF anglo-saxonne. Dans la plus grande tradition des comptines d'enfants, ces auteurs s'en donnent à cœur joie, et vous livrent leurs créations les plus macabres dans l'espoir de vous faire rire.



C’est publié aux éditions Bragelonne. Il fait 137 pages et est vendu aux alentours de 15 euros.

J’aurais aimé savoir si par le plus grand des hasards, l’un d’entre vous avait lu ce recueil (ou comptait l’acheter) et s’il souhaitait en faire la chronique (soit pour le blog, soit pour le fanzine à venir).

Je vous demande cela, car vu le prix du bouquin, même s’il me tente, je ne risque pas de l’acheter avant un moment. Mais il porte sur l’enfant ce qui – pour rappel – est le thème du premier numéro du fanzine des Nuits d’Almor. Sans compter qu’il est paraît-il excellent...

Zabimaru a écrit:

vu le prix du bouquin, même s’il me tente, je ne risque pas de l’acheter avant un moment

Je te comprends... 137 pages au format à peine plus grand que poche. Mais à couverture dure. Par contre pour le contenu... Aucune idée de ce que ça vaut. Et je ne compte pas l'acheter (par contre si je le croise en biblio un de ces jours je l'emprunterais bien).

Xa a l'air bien ce livre!

J'y ai jeté un oeil à l'enseigne de la Vierge... J'ai lu les poèmes de Pratchett et Alan Moore. Le moins que l'on puisse dire c'est que c'est glauque, mais plutôt sympa (ce sont des poèmes certes sur l'enfance, mais du style "les animaux de compagnie de toute façon on s'en fout, on en achète un pour Noël, on l'enterre à Pâques, et s'il passe sous un camion ou chope la grippe aviaire, et bien il suffit d'en acheter un autre", dixit Pratchett, en résumé). La traduction essaie de respecter les rimes (même si du coup ça peut paraître pauvre). Je pense que le lire en VO doit être bien plus intéressant. Je tire quand même mon chapeau aux traducteurs qui semblent avoir fait du bon boulot !

Sentiment avec quelques pages de lecture donc : curieux d'en lire plus, mais plutôt dans la langue de Byron...

Merci Bald. C'est sympa d'y avoir jeté un oeil si rapidement.

C'est vrai que pour la traduction, ça doit être coton à faire et ça doit relativement transformer le texte originel. C'est comme pour les jeux de mots de Pratchett dans ses romans, les traducteurs doivent s'arracher les cheveux à trouver des expressions équivalentes.